Deux nymphes s’exhibent pour un voyeur
Le 16 avril 2013 par e-coquin
Mon appartement est vraiment agréable, très lumineux. La résidence, composée de quatre bâtiments enfermant une cour carrée, est sur le même principe : 3 appartements par étage avec chacun une baie vitrée immense éclairant le salon d’une douce lumière. Je suis au dernier étage.
Il m’arrive fréquemment de passer mes soirées à contempler mes voisins d’en face. Je suis un peu voyeur et ne me lasse jamais d’observer la vie quotidienne des gens en espérant toujours un trait d’extravagance. De puis le début de l’année, je suis comblé. L’appartement en face du mien mais à l’étage inférieur héberge une somptueuse jeune femme. Somptueuse, j’en suis sûr, car elle a pour habitude de déambuler en tenue légère une fois sa porte d’entrée refermée. Cela met un peu de piment dans mes longues heures de contemplation. Piment qui a bientôt pris une dimension diabolique.
Entre Noël et le jour de l’an, je m’aperçois que l’appartement à gauche de celui de ma muse, les volets clos, fait office de miroir et me projette dans l’appartement en dessous du mien. J’observe alors la jeune fille brune que j’ai croisée ce matin dans l’escalier. C’est la copine de mon voisin du dessous qui est venue passer quelques jours dans le sud. L’ambiance tropicale des bâtiments de la résidence (le chauffage collectif est impossible à régler et la température moyenne en hiver est de 28 °C ! !) la conduit elle aussi à se déhancher presque nue, en nuisette couleur nacre et string rouge.
Deux nymphes offertes à mon regard de voyeur, c’est effectivement Noël ! Je m’amuse à comparer leurs deux corps magnifiques. Ma succube au string carmin est pourvue de petits seins à larges aréoles sombres et aux tétons turgescents. Sa chevelure sombre tombe en cascade sur un dos cambré soutenu par une belle croupe.
Mon ange blanc, fidèle à elle-même se promène en dessous blanc comme la neige qui ne tombe quasiment jamais dans cette ville du sud de la France. Son string blanc de dentelle transparente laisse deviner sa toison blonde taillée avec soin. Ses jambes fuselées, infiniment longue lui donne une allure de panthère. Sa démarche souple fait onduler ses fesses musclées aux reflets de satin. Ses seins lourds à l’allure ferme ne demandent qu’à être libérés de son soutien-gorge à balconnet laissant transparaître des mamelons fins comme des flocons de neige, mais durs comme la glace.
Elles se regardent par moment et échangent des sourires. Elles s’observent, jaugent leurs corps. Je pense qu’elles se plaisent. Je ne mange pas. Je les dévore des yeux durant leur repas. Chacune de son côté, assises dans un canapé devant une table basse, elles se restaurent de fruits accompagnés d’un verre de lait pour mon ange et d’un verre de vin rouge pour ma succube. Cette dernière a les jambes ouvertes pour pouvoir avancer son buste au-dessus de la table basse. Elle prend une banane de la main droite, commence à l’éplucher de la gauche. Elle contemple ce phallus frugal. Sa main gauche entame alors une lente ascension du rebord de la table en direction de son sein gauche. Elle se glisse sous sa nuisette nacrée, entoure la courbure de son sein, pétrit son mamelon et commence à tirer son téton proéminent. Elle approche sa bouche de ce vis jaunâtre strié de rainures verticales. Sa langue rose presque rouge contraste avec la pâleur du fruit. Sa bouche enfourne subitement cette verge souple et un coup de dent sauvage la coupe au ras des doigts de sa main droite. C’est ce moment que choisit, comme si elle avait une existence propre, sa main gauche pour fondre sur le triangle de tissu rouge couvrant son intimité et l’arracher violemment. Ce faisant elle lève les yeux et cherche du regard son reflet angélique dans l’appartement d’en face. Je suis son regard et m’émerveille devant mon ange qui n’a rien perdu de cette entrée en matière brûlante de ce petit démon rougeoyant.
Toujours sur son canapé recouvert d’un carré de tissu blanc, son string de dentelle et son soutien-gorge semblent flotté sur le parquet de son salon. Assise le dos bien droit contre son canapé, ses jambes de gymnaste sons ouvertes les genoux légèrement relevés offrant ainsi sa fissure céleste au regard de l’enfer. Son mon de venus blond et finement taillé semble luire dans la lumière de la lune qui éclaire son appartement. Ses lèvres ouvertes et humides sont comme des aimants qui attirent ses deux mains diaphanes qui parcourent ses cuisses dans un mouvement lent et aérien. Ses seins ronds se dressent de désir. Une main commence a se faire plus précise dans ses caresses et s’emmêle dans ses fibres blondes tandis que son autre main remonte sur sa poitrine. Elle empoigne alors un sein par le dessous et commence à en remonter la pointe tendue vers sa bouche qui laisse échappée sa petite langue fine de porcelaine. Elle lèche et suce ce téton rose pâle avec lenteur. Plus bas, ses doigts parcourent sa fente étalant cette liqueur scintillante sur le velours de ses cuisses.
Ma petite démone se délecte de ce spectacle. Elle sourit tout en ôtant sa nuisette mettant à nu ses petits seins cachetés par ses énormes tétons turgescents. Elle s’empare d’une banane et commence à faire glisser la pointe du fruit le long de ses jambes ouvertes dans la même posture que son négatif blanc. Son sexe luit de sa cyprine démoniaque. Elle approche son god frugale de son fruit défendu ressemblant à une figue fraîche trop mûre, éclaté et suintant de sucre. Elle se pénètre lentement tout en faisant rouler entre deux doigts son clitoris gonflé. Son bassin ondule au rythme de l’intrusion de son god improvisé. A chaque sortie du fruit, un filet de mouillure coule de son vagin en direction de son petit anneau. Un doigt commence alors à s’immiscer dans ce nouvel orifice lubrifié. Un deuxième le rejoint bientôt, puis un troisième dans un mouvement de piston de plus en plus ample et profond. Elle lâche alors la banane qui est remplacée par le pouce de sa main déjà occupée à visiter ses entrailles. Son autre main s’affaire sur son bouton. Ses mouvements s’accélèrent, elle penche la tête en arrière, sentant une onde de chaleur monter en elle.
Avant l’explosion, elle baisse la tête et cherche le regard angélique de son double. Un good double est apparu dans la main de mon ange. Il est blanc tel un néon fluorescent. Elle le fait glisser le long de son entrejambe. Il remonte lentement sur son ventre opalescent et dessine la sphère de ses seins. Son autre main a redécouvert l’entrée de son intimité et commence glisser entre ses lèvres vaginales un, puis deux doigts. Alors que ses doigts trouvent le voie humide de son con, elle prend dans sa bouche, une tige après l’autre, son jouet laiteux. La première énorme s’immisce entre ses lèvres qui se retroussent sur ses dents blanches. Le second membre glisse le long de sa joue et vient lui caresser le lobe de l’oreille. A ce moment le premier est complètement enfoncé dans sa gorge. Elle penche la tête en arrière et sort son pieu double dont le plus gros vis frotte contre ses incisives, tout en introduisant dans son vagin son autre main jusqu’au poignet. Son bras tel un piston fouille sa matrice alors que le god double cascade entre ses seins, suit la courbure de sa hanche et tandis qu’elle s’allonge sur le côté vient à la découverte de sa fleur serrée qui s’épanouit à l’idée d’une intrusion sauvage.
Je n’en peux plus. Je me suis moi aussi débarrassé de mes vêtements encombrants. Mon membre est dressé. Mes bourses sont parcourues d’un frisson de plaisir. Si mon ange blanc avait levé son regard sur moi, elle aurait vu mes testicules parcourus d’une onde de vie propre, monter et descendre lentement sous l’influence de la contraction de mon périnée dont la fréquence est calquée sur les va-et-vient du good double maintenant enchâssé dans ses deux orifices.
Mon regard se pose alternativement sur mes deux voisines. Toutes les deux fouilles leurs deux conduits. L’une, dont le dos est maintenant posé sur l’assise du canapé poursuit à un rythme effréné l’étourdissement de son clitoris avec sa main droite alors que son pouce est à la recherche des autres doigts de sa main au travers de cette membrane qui sépare son vagin de son anus. La bestialité de cette scène offerte par ma diablesse rouge fait suinté mon gland d’un liquide translucide qui s’épand en un long filet jusqu’à mes pieds.
L’autre à genoux sur son canapé pointe vers moi ses fesses d’albâtre séparées par le good double qu’une main assurée fait monter et descendre avec une régularité d’horloger céleste tandis que deux doigts de son autre main font rouler son clitoris luisant de cyprine. Ma main gauche caresse lentement mes bourses, les pétrit d’un geste enveloppant. Ma main droite vient alors se poser sur mon ventre et descend vers ma toison. La base de ma hampe vient se coincer entre mon majeur et mon annulaire. Ma main pousse vers la bas et mon gland humide vient s’écraser contre la vitre de ma baie vitrée. Je suis toujours debout et guette un regard que pourrait lancer vers moi mon ange blanc.
Un éclair énorme vient alors illuminer la cour de notre résidence, suivit d’un coup de tonnerre retentissant. Elles sursautent simultanément de peur et lèvent les yeux au ciel. Mon ange m’aperçoit alors, nos regards se croisent. Nous échangeons un sourire. Elle baisse les yeux sur notre diablesse. Elles échangent un regard complice. Je contemple ma succube ou plutôt son reflet et nos yeux se verrouillent. Nous sommes tous les trois en contact. Mon ange blanc se remet sur le dos pour m’offrir sa féminité. Ces deux sexes qui me sont offerts, l’un blond l’autre brun me poussent à empoigner mon membre à pleine main. Je commence alors un va-et-vient, lent sur lequel elles s’accordent toutes les deux. Ce triptyque est par moment ébloui par les éclairs. L’effet stroboscopique ainsi produit renforce la montée de nos plaisirs respectifs. A chaque fois que ma main fermée sur ma hampe arrive à la naissance de mon gland, une goutte perle au bout de mon chibre. Je pose ma main gauche sur le carreau, penche mon buste en avant tout en reculant mes jambes écartées, laissant ainsi me couilles libres de leurs mouvements de balancier imprimé par l’aller retour de plus en plus rapide de ma main sur mon membre.
Les deux nymphes se cambrent sous leurs assauts de plus en plus rapides et puissants. Leurs visages se crispent. Leurs doigts fouillent à une vitesse frénétique leurs sexes ouverts et dégoulinants de mouille. Elles pressent chacune un de leur téton. Le tire, le tourne. Leurs bouches s’ouvrent en grand et elles se tendent à rompre. Un cri montant à l’unisson sort de leurs gorges crispées par l’orgasme. Un coup de tonnerre monumental vient couvrir leur jouissance. Elles se détendent continuant à pétrir leurs seins et leurs sexes coulant et me regardant repues mais toujours avec des yeux avides de désir.
Je sens mes couilles se contracter. Ma main est maintenant un étau sur ma queue. La lubrification de mon membre alliée à la course effrénée de ma main provoque un bruit visqueux de succion. L’odeur de mon sexe me monte aux narines. J’imagine que je sens la sève de mes deux nymphes. J’ouvre les yeux, je les regarde tour à tour avec un sourire crispé par le plaisir qui arrive. Elle m’observe tout en se caressant à nouveau frénétiquement. Je sers encore plus fort ma queue, mes va-et-vient sont fulgurants. Mes couilles se contractent dans un spasme libérateur. Je sers mes doigts autour de la base de mon gland et la fait descendre lentement jusqu’à la base de la hampe. Une décharge me traverse, mon sperme gicle sur la vitre en longs jets. Les saccades se poursuivent pendant de longues secondes de jouissance. Je baisse les yeux sur mes deux compagnes. Je les vois suivre du regard les coulures de ma semence sur la vitre tout en arrivant au paroxysme de leur plaisir. Elles se contractent une dernière fois dans un déchaînement des éclairs et du tonnerre. Le ciel se déchire, une pluie noire se déverse et vient, tel un rideau de théâtre, clore cette représentation nocturne.
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